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51 Ses parents demeurent au village de la Bretonnière, de la paroisse de Ligron, canton de Malicorne, arrondissement de La Flèche et évêché de Le Mans en Maine (Sarthe), région du Pays de la Loire, France.

Originaire de Ligron, canton de Malicorne, près de La Flèche. Défricheur. En 1655, il décide de se fixer définitivement au pays et reçoit une gratification de 500 livres de même qu'une terre à la contrée Saint-Joseph.

Tué par les Iroquois en février 1662, en compagnie du major Lambert Closse et de deux autres compagnons. Il laissait deux jeunes enfants. Sa veuve se remaria, en novembre de la même année, avec Pierre Pigeon
 
Leroy, Simon (I10247)
 
52 Son mariage fut annulé avec Michel Chauvin, celui-ci ayant sa femme Louise Delisle en France, marié le 10-08-1637 à Ste-Suzanne (Mayenne, 53255).

Deux frères et deux s?urs d'Anne sont nés et baptisés à Dompierre-sur-Mer (St-Pierre) : Denis, 12-09-1630 ; Marie, 24-02-1636 ; Louyse, 18-03-1640 et Laurens, 10-01-1642.

Une plaque commémorative est apposée en 1698 dans l'église à Dompierre-sur-Mer.  
Archambault, Anne (I37945)
 
53 Teste le 14-03-1611: Me Conay à La Rochelle. Resneau, Zacharie (I53863)
 
54 Texte de Jean de Chantal.
Chronique réalisée en collaboration avec la Société de généalogie de l`Outaouais, Inc., parue le 8 septembre 1994

Jean Cousineau, souche des Cousineau d'Amérique

Le 29 août dernier, Le Droit publiait un reportage illustré d'une photo aérienne remarquable de quelque 600 membres de la famille Cousineau qui ont épelé leur nom sur la pelouse de la ferme de l'aïeul à Cochrane dans le nord ontarien, à l'occasion de leur rencontre en juillet dernier. Belle occasion donc de présenter aujourd'hui la souche de tous les Cousineau d'Amérique, Jean, qui arrive à Ville-Marie avant 1686. Les Cousineau figurent donc parmi les plus anciennes familles de Montréal.

Premières années

Il naît vers 1662 à Jumilhac-le-Grand dans le Périgord, aujourd'hui le département de la Dordogne. On ignore les motifs qui l'incitent à quitter son pays ainsi que la date précise de son arrivée en Nouvelle-France. Toutefois, dans un acte notarié du 19 octobre 1686, il s'engage pour trois ans auprès du séminaire de Montréal.

Il signe son contrat de mariage devant le notaire Adhémar le 21 décembre 1689 et se marie avec Jeanne Bénard (Besnard) née à Chambly et baptisée à Boucherville le 10 février 1675. Elle est la fille aînée de feu Mathurin Besnard dit Lajeunesse et de Marguerite Viard, tous deux originaires de France. Le contrat précise que Jean est tailleur de pierres et que Jeanne recevra la somme de 30 livres et 200 planches de pin «bonnes et marchandes» de la succession de son défunt père.

Transactions du début

Le 8 décembre 1690, Jean Cousineau se lie par bail à ferme à l'Hôtel-Dieu pour 4 ans. De plus on lui alloue une terre de 4 arpents au quartier St-Joseph, qu'il doit défricher, labourer et mettre en culture contre un engagement à livrer la quatrième année un minot de blé «bon, sec, net» pour chaque arpent. Il acquiert ensuite en 1692 un terrain près de la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, puis une terre de 54 arpents à la Côte-St-Pierre en septembre 1699 qu'il échange en juillet 1706 contre une terre de 64 arpents dans le domaine de la montagne.

Établissement à St-Laurent

C'est en 1708 que Jean Cousineau vient s'établir dans la Côte Notre-Dame-des-Vertus à St-Laurent, qui est située sur le versant nord du Mont-Royal et qui s'étend jusqu'à la Rivière-des-Prairies, territoire qui fait alors partie de la paroisse Notre-Dame de Montréal. Cette terre est voisine de celle de son gendre Jean Grou, mari de M.-Jeanne Cousineau. Pierre Grou, frère de Jean, épousera de son côté en seconde noce Louise-Angélique Cousineau, soeur de M.- Jeanne.

Jean Cousineau, maçon et tailleur de pierres, a probablement construit sa propre maison de pierre et celles de ses deux gendres, toutes trois absolument semblables. Elles ont été restaurées depuis, mais ont conservé leur forme première, qu'on peut encore admirer aujourd'hui.

L'ancêtre Jean Cousineau meurt à St-Laurent le 22 décembre 1731. Jeanne, son épouse, s'éteint à 74 ans dans la demeure de son fils cadet François; elle est inhumée au Sault-au-Récollet le 9 mai 1749. 
Cousineau, Jean-Baptiste (I228)
 
55 Transcription d'une partie du registre de Pointe-aux-Trembles (St-Enfant-Jésus) lors du décès de Jacques:
«Le 8 février 1693 a été inhumé dans notre église auprès du confessionnal en payant dix sous pour les droits de la fabrique pour __ _ de la fosse Jacques Beauchamp ancien habitant de la ....» 
Beauchamp, Jacques (I864)
 
56 Tué par les Iroquois à Rivière-des-Prairies suite au massacre de Lachine.

UNE PROCURATION SIGNÉE PAR LES ENFANTS DU COUPLE DAGENAIS/BRANDON LE 21 SEPTEMBRE 1702 DEVANT LE NOTAIRE PIERRE RAIMBAULT DONNE LES CIRCONSTANCES DE SON DÉCÈS:
"FILS ET FILLES DE DEFFUNCTS PIERRE DAGENET... ET DE DEFFUNCTE ANNE BRANDON SA FEMME LEUR PERE ET MERE PRIS ET TUES PAR LES HIROQUOIS IL Y A ENVIRON QUATORZE ANS". SOURCE: MSGCF, VOL. 59, NO 2 (ÉTÉ 2008), P. 115  
dit Lépine, Pierre Dagenais (I38006)
 
57 Un des premiers pionniers de Montréal, il s'engage le 20 avril 1644, à La Rochelle, devant le notaire Teuleron envers Jérôme Le Royer à venir travailler pour cinq ans, à 60 livres par année.

Au terme de ses années d'engagement, en société avec Jean Descary, le 18 novembre 1650, il s'oblige à bâtir à frais communs une maison sur la concession de terre de ce dernier et d'y défricher en sa compagnie dix arpents de terre.

Une fois ce travail terminé, ils en feront autant sur sa propre terre. En attendant, ils jouiront en commun des fruits de leur travail.

Tout comme Jean Descary, il avait obtenu du sieur de Maisonneuve une terre de trois arpents de front par dix arpents de profondeur à la contrée Saint-Joseph. 
Leduc, Jean (I51403)
 
58 UNE PROCURATION SIGNÉE PAR LES ENFANTS DU COUPLE DAGENAIS/BRANDON LE 21 SEPTEMBRE 1702 DEVANT LE NOTAIRE PIERRE RAIMBAULT DONNE LES CIRCONSTANCES DE SON DÉCÈS:
"FILS ET FILLES DE DEFFUNCTS PIERRE DAGENET... ET DE DEFFUNCTE ANNE BRANDON SA FEMME LEUR PERE ET MERE PRIS ET TUES PAR LES HIROQUOIS IL Y A ENVIRON QUATORZE ANS". SOURCE: MSGCF, VOL. 59, NO 2 (ÉTÉ 2008), P. 115  
Brandon, Anne (I38007)
 
59 Voir Mémoires de la SGCF, #256 ( été 2008), p.115 Brandon, Abraham (I53867)
 
60 «Robert Caron arriva en Nouvelle-France, vraisemblablement en 1635, sur un bateau de la Compagnie des Cent-Associés venant de Dieppe.

Il se fait attribuer une concession par Pierre LeGardeur de Repentigny, seigneur d'une partie de la côte de Beaupré, et il s'établit aussitôt près du Sault Montmorency.

Le 25 octobre 1637, il se marie à Québec avec une jeune normande, Marie Crevet, fille de Pierre et Marie LeMercier, de Benouville, diocèse de Bayeu. C'est là que naquit son premier enfant, Marie, en 1639.

Quand naquit son deuxième enfant, il s'était déjà rapproché de Québec, au Côteau Ste-Geneviève, et faisait baptiser Jean-Baptiste le 10 juillet 1641 à Québec.

Le 4 octobre 1642, il vendit sa terre de Montmorency à Guillaume Couillard pour la somme de cent cinquante livres en argent.

Dès le printemps de 1643, Robert Caron s'adonne donc au défrichement au Côteau Ste-Geneviève et en 1649 il recevait de la compagnie des Cent-Associés le titre officiel de Propriétaire de sa concession de 40 arpents.

M. D'Ailleboust, gouverneur, lui ajoute vingt arpents en 1651.

En 1654, Robert Caron vend sa propriété du Côteau Ste-Geneviève pour aller s'établir sur la côte de Beaupré sur une terre qu'il s'était choisie et située à environ un mille de l'actuelle basilique Ste-Anne.

Il avait déjà six enfants dont Marie, Jean-Baptiste, Joseph, Robert, Pierre et Aimée. » 
Caron, Robert (I51353)
 

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